La FRM AVIRON exploitent actuellement Cinq sites sur le territoire marocaine dans les trois grandes régions du royaume, il s’agit de :
-Plage Dalia (Tanger)
-La vallée Bouregreg (Rabat Salé)
-La vallée de Sabou (Kénitra)
-Dayet Roumi (Khemisset)
-La vallée de Oued Maleh (Mohammedia)
la Vallée du Bouregreg, Entre Rabat et Salé s’étend un vaste territoire de près de 6 000 hectares, appelé « la Vallée du Bouregreg ». Ce paysage complexe, tant par sa composition en diverses entités que par ses multiples acteurs, se déploie en plein cœur de la double-capitale du royaume du Maroc.
Depuis plus de dix ans, le devenir de cette vallée est à l’étude, sous la direction d’un organisme créé à cet effet : l’Agence pour l’Aménagement de la Vallée du Bouregreg. Plusieurs plans d’affectations se sont succédés jusqu’à l’approbation du Plan d’Aménagement Spécial (PAS), essentiellement concentré sur l‘urbanisation. Les difficultés rencontrées pour sa mise en œuvre ont insufflé l’initiative d’un nouveau type de plan de structure : le Plan d’Orientation Paysager (POP).
Il importe dorénavant de prendre un nouveau tournant dans les aménagements du territoire, et de chercher davantage à valoriser et dynamiser un paysage riche déjà présent. L’analyse, le diagnostic et les constats ont permis d’obtenir une vision commune pour cette vallée ; celle d’un futur parc métropolitain.
Intensifier et diversifier l’armature verte tout en valorisant la présence de l’eau permettra de donner une toute autre image à cette vallée aujourd’hui dépréciée. En tissant un fin maillage de mobilités douces de diverses typologies, la vallée ne constituera plus une frontière entre Rabat et Salé. Sa découverte et son exploration seront soutenues par l’implantation de divers programmes : sports et loisirs, culture, patrimoine, pédagogie, paysage productif, réserves naturelles. Le travail de ces quatre trames va permettre au territoire de se relier avec son contexte, de s’intégrer à son environnement immédiat sans plus former de rupture ou de fracture.
Afin de faire de cette vallée un véritable parc métropolitain, il importe non seulement à ce paysage d’être vécu, visité et observé, mais également d’être habité. Ainsi, une urbanisation légère des coteaux en continuité des zones urbaines existantes va permettre au paysage de la vallée du Bouregreg de s’accorder avec son tissu urbain voisin.
Le Plan d’Orientation Paysager cherche à faire émerger le futur parc métropolitain de la Vallée du Bouregreg, un modèle exemplaire et novateur au cœur du bassin méditerranéen. Afin d’assurer la poursuite de l’étude vers l’opérationnalisation de certaines stratégies, sept « fiches-projets » et une charte paysagère constitueront les missions suivantes.
À environ 15 km de la ville de Khemisset et à une heure de Rabat, « Dayat El Roumi » est un magnifique lac naturel aux vues captivantes qui incitent les visiteurs à s’affranchir des contraintes de la vie quotidienne et à se rapprocher de la nature et de soi.
Il donne à ses visiteurs la possibilité de contempler et d’apprécier ses paysages pittoresques, ainsi que la diversité de son couvert végétal et ses variétés réunies.
En plus de sa tranquillité de ce lieu regroupe environ 35 espèces végétales sur les rives du lac, ainsi qu’une multiplicité d’espèces telles que le canard sauvage, la poule d’eau verte (la poule d’eau), le tétras lyre et la cigogne.
Dayet Roumi est l’une des rares zones humides du Royaume, c’est un lac naturel qui est resté inébranlable face au temps en raison des années successives de sécheresse d’une part, et en raison de l’intervention de la main humaine pour conquérir la belle nature qui entoure ce lac par contre.
En l’absence d’un gardien permanent et continu, il est difficile de venir à bout Sur toutes les manifestations de pollution allant du lavage des voitures, des vêtements et de la laine au surpâturage, sans oublier l’exploitation des eaux de la lac autour duquel des légendes se sont copiées et sont devenues un souvenir de la région de Khemisset,
Pour certains, l’espace Dayet Roumi est une belle station balnéaire, pour d’autres c’est un vecteur environnemental, et tout cela incite les curieux scientifiques à rechercher et fouiller pour faire la lumière sur ce lieu naturel.
Ayant une longueur totale de 614 km depuis sa source, il a à son amont les eaux de la rifaine (Oued Leben affluent de l’Oued Inaouen, lui-même affluent de Sebou et Oued Ouargha) et celles des crêtes (Oued Guigou, Oued Zlouh, Oued Mikkés), et l’Oued Inaouen qui vient de la région de Taza où il borde les régions moyennes-atlasiques et pré-rifaines. Après avoir traversé les collines pré-rifaines, le Sebou débouche dans la plaine du Gharb, où il va recevoir l’Oued Beht et l’Oued R’dom au Sud. Il rejoint l’Atlantique près de Kénitra à Mehdia. Son débit moyen s’élève à 137 m3/s. En hiver, la moyenne la plus élevée est celle du mois de février (350 m3/s), pouvant atteindre 6 000 m3/s en période de fortes crues. Le Sebou est l’une des ressources en eau les plus importantes du Maroc ;
Il est caractérisé par un régime hydrologique très irrégulier et se jette dans l’océan Atlantique. Le fleuve Sebou est navigable sur 17 km dans sa dernière partie, jusqu’à Kénitra.
L’oued Malleh : est un fleuve côtier marocain de la région de Casablanca. Son eau, comme celle de beaucoup d’oueds du Maroc, véhicule un peu de sel.
Sa vallée s’étend du massif de Khatouat à l’océan Atlantique, en traversant la Meseta côtière Marocaine d’est en ouest. Il s’agit de la première vallée traversée sur le chemin de Rabat depuis Casablanca, entre Aïn-Harrouda et Aïn-Tekki1.
Il prend sa source à l’Aïn Soltane, dans les contreforts du Moyen Atlas, à 20 km au nord-ouest de Khouribga, près de la kasbah Moulay-Abd-el-Aziz, à 760 m d’altitude, sur le versant sud-est du massif du Khatouat2. Tout au long de son cours (environ 160 km), depuis sa source, il reçoit les noms d’oued Zamrine, oued Zemrane et, au confluent avec l’oued EL Ateuch, il devient l’oued Mellah.
Il se jette dans l’océan Atlantique au sud de Mohammedia (ex Fédala)3. La route de Casablanca à Rabat descend en lacets serrés vers le fond d’une profonde vallée encaissée et travers sur un pont routier bas puis remonte encore en lacets. Ce pont est inondable lors des violentes crues hivernales de l’oued
Tanger: est une ville du Nord du Maroc, deuxième poumon économique du Maroc, et capitale de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma. Elle est le chef-lieu de la préfecture de Tanger-Assilah.
Située à l’extrémité du Nord-Ouest du pays sur le détroit de Gibraltar, la ville se trouve à quatorze kilomètres de la côte espagnole. Sa population s’élève à 1 365 601 habitants au recensement de 2015
Tanger est située dans la baie du même nom, ouverte sur l’extrémité occidentale du détroit de Gibraltar, à environ 15 km des côtes espagnoles ; et à la périphérie du massif montagneux du Rif. Le port de la ville est la principale destination des bateaux de voyageurs en provenance de L’Europe. Tanger est, par conséquent, l’un des lieux de passage des voyageurs circulant entre le continent européen et africain.
Avec 2500 Kms de Tanger à Dakhla sur l’atlantique, et 550 Kms de Tanger à Saidia, en plus des rivières et Lacs et les marinas bien équipées à tous le territoire marocaine, l’Aviron devrait être parmi les disciplines les plus pratiqués au pays, mais la pratique ne le reflète pas ..
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